le humour de la visiteuse - Le départ de l’hiver apporta à bien la bâtisse un étoffe de souffrance sereine. Chaque matin, la brume se levait à proximité du jardin, imprégnant l’air d’un parfum humide et léger. À l’intérieur, l’atmosphère n’avait jamais persisté en plus calme : pas un grincement intempestif, pas un murmure dâ
le souffle de la visiteuse - Le départ de l’hiver apporta à la bâtisse un voile de désagrément sereine. Chaque matin, la brume se levait à proximité du jardin, imprégnant l’air d’un parfum humide et léger. À l’intérieur, l’atmosphère n’avait jamais s'étant rencontré de plus calme : pas un grincement intempestif, pas un mur
rémi se réveilla évident l’aube, avec la sensation que le monde autour d’elle disposait d’un autre tempo, plus lent et plus significatif, comme par exemple si l'obscurité s’étirait pour l’inviter à établir ses plans. Depuis qu’elle avait commencé son cheminement expressif, resté par jolie voyance, elle éprouvait ces instants m